« This is a model recital, virtuosic in the extreme, yet with vocal beauty placed in service of an unusual repertory. », December 2013, Allmusic.com
« This is the debut recital recording of Belgian countertenor Dominique Corbiau, and it is notable in several respects. First is Corbiau’s voice, which is unusually rich and rounded but never plummy, his engagement with the text obvious and sensitive. Most of the arias here are of chamber dimensions, and Corbiau is a natural at this size, but he has power in reserve for when the music ascends into upper registers. Second is the fact that Corbiau avoids well-trodden Baroque repertory on this release. Alessandro Scarlatti is not exactly unknown, but he is generally represented by a few large sacred works, and few of the pieces here are likely to be familiar to general listeners. And third, Corbiau not only represents Scarlatti but explores him intelligently. The program is divided into the « profano e sacro » categories of opera and oratorio, with a second secular category, the serenade, added at the end. All kinds of interesting revelations, many of them non-vocal, emerge as the program unrolls, and Scarlatti’s immense influence on the music of the entire 18th century becomes clear. There are lovely instrumental effects, such as those involving the Baroque triple harp. In general, this is a model recital, virtuosic in the extreme, yet with vocal beauty placed in service of an unusual repertory. » James Manheim
www.allmusic.com
www.allmusic.com/album/profano-e-sacro-the-music-of-alessandro-scarlatti-mw0002496066
» Musically there is much to enjoy here and this recording bears witness to the quality and versatility of the composer as well as the quality of Corbiau and the orchestra. », July 2013, Musica dei donum
I am generally quite pleased by Corbiau’s performances. I had never heard him before, but I hope to hear more from him in the future. He has a pleasant voice with a warm timbre. His diction is very good and as a result the texts are always clearly audible.
Musically there is much to enjoy here and this recording bears witness to the quality and versatility of the composer as well as the quality of Corbiau and the orchestra. »
Johan van Veen (© 2013)
http://www.musica-dei-donum.org
»Après quelques détours par les territoires New Age, le contreténor belge Dominique Corbiau revient à son coeur de répertoire et nous livre un CD rendant enfin compte de son talent musical, de ses qualités vocales exceptionnelles… », Juin 2013, La Libre Belgique (BE)
« Après quelques détours par les territoires New Age, le contreténor belge Dominique Corbiau revient à son coeur de répertoire et nous livre un CD rendant enfin compte de son talent musical, de ses qualités vocales exceptionnelles et de la place qu’il pourrait occuper dans le milieu baroque. Le choix du programme élaboré en étroite collaboration avec Michel Keustermans, directeur de la Cetra d’Orfeo s’est porté sur des oeuvres sacrées et profanes d’Alessandro Scarlatti (1660-1725) aménagées dans une dramaturgie digne d’un ‘pasticcio’ et dotées de mille trouvailles instrumentales. Quelques airs de bravoure, et surtout des mélodies plus belles les unes que les autres, font de ce CD un portrait séduisant et senesible d’un compositeur clef de son époque et de son interprète. »
La Libre Belgique, 5 Juin 2013, Martine Dumont-Mergeay
« Une petite merveille à ne pas manquer. », Avril 2013, Parutions.com (FR)
« Avec pas moins de 9 premières au disque, cet enregistrement consacré à Alessandro Scarlatti (1660-1725) est une petite merveille à ne pas manquer.
Le programme se compose d’Arias et d’Ouvertures d’opéras et d’oratorios comme notamment «Griselda», «Il Ciro», «L’Amor volubile e tiranno», «La Giuditta», «Il Primo Omicidio», ainsi que la sérénade «Venere, Amore e Ragione».
Le contre ténor Dominique Corbiau déclare : «J’ai imaginé ce programme comme un voyage au cœur de l’Italie baroque, avec ses somptueux palais, ses théâtres mythiques, et ses églises grandioses, autant de lieux ou fut célébré l’immense talent d’Alessandro Scarlatti qui savait avec un style tellement original mêler sophistication et simplicité pour traduire les sentiments les plus contrastés qu’ils soient profanes ou sacrés».
Et le résultat est au rendez-vous avec une voix maîtrisée, au timbre clair, soutenue par l’ensemble baroque La Cetra d’Orfeo que dirige Michel Keustermans. Une entente parfaite au service de la musique et rien d’autre, malgré un visuel de couverture qui pourrait faire penser le contraire. Mais l’essentiel est ailleurs, au cœur des œuvres proposées que Dominique Corbiau «incarne» avec maestria.
Saluons également une prise de son des grands jours pour faire de ce SACD une heureuse découverte.
Jean-Jacques Millo
« Dominique Corbiau, le jeune contre-ténor belge, n’est plus une étoile montante et son album Profano e Sacro, consacre à la musique d’Alessandro Scarlatti, montre qu’il joue désormais dans la cour des grands. « , Mars 2013, Le Vif (BE)
:Le nouveau prince du baroque